On pourrait objecter à votre argument sur les 200 milliards d'euros par an d'économie en Europe que des stratégies bonnes à l'échelle européennes s'avèrent parfois mauvaises marginalement. Par exemple, il est possible que l'impact CO2 soit fort dans un pays qui n'a pas de nucléaire, mais nul dans un pays qui compte un important parc nucléaire.
Cette analyse à l'échelle européenne s'adapte-t-elle au système français ? La France est-elle représentative de ce qui se passe au niveau européen ?