Pas de stratégie pour éviter que les capitaux étrangers ne prennent le contrôle de nos fleurons industriels. Là non plus, votre gouvernement n'est pas au rendez-vous pour préserver une souveraineté nationale industrielle : je pense à Fincantieri dans la construction navale, secteur où l'entrisme des Chinois est préoccupant.
S'il fallait en une phrase dresser le bilan de cette révolution En Marche qu'on nous promettait, je dirais au ministre M. Le Maire : « Bruno, le renouveau n'est pas au rendez-vous. Au contraire, l'abandon des territoires et des salariés continue à broyer les territoires et à bousculer, à faire mal aux vies ! »