Par ailleurs, récemment, à l'occasion des négociations annuelles obligatoires sur les salaires, les salariés ont occupé les bureaux de la direction pour réclamer le versement d'une prime exceptionnelle. Madame la secrétaire d'État, l'État doit appuyer cette légitime demande.
Contre le rouleau compresseur du capitalisme financier et des licenciements boursiers, il faut des mesures concrètes afin d'empêcher le saccage de cet outil industriel et de prévenir ce désastre social sur notre territoire girondin.