Je réponds d'abord à la première, qui porte sur le numerus clausus. Pour commencer, je crois que nous pouvons toutes et tous nous féliciter – et nous retrouver autour – de l'objectif de suppression de celui-ci, qui a été adopté à l'occasion de l'adoption en première lecture du projet de loi relatif à l'organisation et à la transformation du système de santé.