Cette suppression permettra de former progressivement plus de médecins et ainsi de répondre à des besoins.
Agnès Buzyn a fait le choix, dans les derniers textes qu'elle a publiés, de moduler l'augmentation des places offertes aux nouveaux étudiants en médecine en fonction des besoins exprimés. Ce n'est pas une première, puisque la modulation de la répartition des places ouvertes au titre de l'augmentation du numerus clausus a été introduite pour la première fois en 2016.