Je maintiens ce que j'ai dit il y a quelques jours : la société prend mieux en compte les féminicides et les meurtres de femmes. Une femme est tuée en moyenne tous les trois jours par son conjoint ou son ex-conjoint. Hélas, l'expérience nous montre que cette moyenne se lisse sur l'année. Nous constatons toutefois que la presse fait de moins en moins référence à des crimes passionnels et de plus en plus à des féminicides ou à des meurtres par conjoint ou ex-conjoint – c'est heureux. Cela signifie qu'ils sont davantage visibles mais il faut aussi les combattre davantage.