Beaucoup de choses restent à faire. Nous demeurerons vigilants sur toutes les mesures que pourront prendre les pouvoirs publics pour s'assurer que le texte soit applicable. La principale crainte des magistrats était qu'il ne le soit pas.
Ma question porte sur la non-dénonciation des crimes et des délits sexuels. Des professionnels de l'enfance déplorent que certains se taisent, notamment les intervenants médicaux, qui reçoivent la parole des enfants mais ne peuvent pas dire ce qu'il en est, en raison des règles de déontologie propres à leur métier. Envisagez-vous de faire évoluer le texte sur ce point précis ?