En revanche, nous savons que nous pouvons trouver, parmi les 40 milliards d'euros de niches fiscales dont bénéficient les entreprises, des marges pour financer cette baisse d'impôt.
Un travail d'envergure est nécessaire pour la réussir dans de bonnes conditions. Au demeurant – vous avez eu raison, monsieur Saint-Martin, de le préciser – , celle-ci s'ajoute à une première baisse – de plus de 20 milliards d'euros – de l'impôt payé par l'ensemble des Français.