M. Pajot, qui a quitté l'hémicycle, ne sera pas surpris que je ne souscrive ni à ses constats, ni à ses critiques, ni à la philosophie qui les sous-tend.
J'ai voté pour Jean-Pierre Chevènement au premier tour de l'élection présidentielle de 2002 en ayant à l'esprit une certaine idée de la grandeur de la France. Je ne me sens aucunement dédire ni trahir cet idéal aujourd'hui, tandis que je m'inscris dans la dynamique européenne.