Tant Mme Karamanli que M. Peu ont posé la question de l'association des parlementaires. Je trouve que la mise en place d'un conseil de la réforme pour suivre la loi du 10 août 2018 pour un État au service d'une société de confiance (ESSOC) a été une bonne chose. Je suis ouvert à une association avec l'ensemble des parlementaires, qu'ils appartiennent à la majorité ou à l'opposition.
Il s'agira, monsieur Peu, de concertation et de consultation. Nous n'avons pas retenu la logique des accords majoritaires qui prévalaient pour les Accords de Bercy. Elle s'appliquera toutefois pour la conclusion du protocole d'accord sur l'égalité femmes-hommes que nous évoquerons tout à l'heure.