Mon avis est simple : il ne faut pas morceler la forêt française. Il existe déjà des dispositions, dans le cadre des groupements familiaux, qui favorisent la constitution de petites unités de gestion. Abaisser le seuil à 4 hectares entraînerait un morcellement plus important et par conséquent une moindre rentabilité de la forêt française. Monsieur Pellois, vous connaissez parfaitement le sujet et les problèmes de rentabilité dans ce secteur. Je vous invite donc à retirer votre amendement.