Je le maintiens, pour la simple raison qu'il est incompréhensible, quand on invoque la biodiversité des territoires ultramarins ou la nécessité de protéger la forêt amazonienne, d'écarter la possibilité de proposer des projets et des sites touristiques valorisant l'environnement et la nature. L'argument du rapporteur, selon lequel le terme d'écotourisme n'aurait pas de sens juridique, est d'ailleurs trop simple, et même simpliste, car chacun sait très bien ce que ce mot signifie.