Je tiens avant tout à donner la raison de ma présence à la tribune : le ministre de la culture, de retour d'Italie, où il représentait le Président de la République pour l'ouverture de la Biennale de Venise, a été malheureusement retardé par, comment dire, des problèmes imputables aux aiguilleurs du ciel, mais il sera bien présent pour prendre part à la discussion dans… quelque temps.