Respectant la loi naturelle, je défends l'idée selon laquelle chaque peuple doit vivre et s'émanciper dans le cadre historique qui est le sien. En conséquence, je suis totalement opposé à la politique d'immigration qui est appliquée depuis 1945 et qui s'inscrit dans une volonté de certains de détruire ce que nous sommes pour imposer un ordre mondial.
Il y a longtemps que la coupe est pleine, elle a même débordé. Nous subissons de plein fouet – l'arbre est jugé à ses fruits – les résultats de cette politique migratoire, qui s'est accélérée avec la politique familiale qui a entraîné un déficit démographique. La nature ayant horreur du vide, l'immigration a donc été organisée, encouragée, financée, protégée par une politique qui ne date pas d'hier et qui est d'ailleurs inscrite dans le jugement de Nuremberg – c'est une évidence.
Le « grand remplacement » est un terme littéraire pour expliquer ce qui est en train de se passer, à savoir un véritable génocide ethnique des Français historiques et des Européens. Il faut donc, dans un premier temps, transformer cette Europe passoire en Europe forteresse, et organiser le retour de toutes ces populations déracinées, qui, d'ailleurs, sont loin de trouver l'équilibre et la plénitude qui nous sont présentés depuis toujours, pour retrouver une cohésion nationale. C'est indispensable et urgent.
D'autant plus que cette politique idéologique occidentale sème le chaos partout, sur le continent africain, au Moyen-Orient, avec ce problème très grave de l'entité sioniste en Palestine, qui déséquilibre les rapports des nations en matière de géopolitique.