Merci, monsieur Brindeau, de partir avec lucidité de mon intention et de la méthode. L'Assemblée nationale est, en effet, une tribune, et c'est d'ailleurs pour cela que j'ai voulu être député du peuple français, plutôt que de siéger dans le conseil d'administration d'une association dont on vérifie à intervalles réguliers le nombre de membres autorisés à siéger. Il s'agit ici du peuple français. Je retrouve ici la méthode habituelle : M. Castaner, avec l'habileté qu'on lui connaît et bien qu'il ait terminé par un beau compliment, que je ne rejette pas,