Ce n'est évidemment pas à la hauteur de l'enjeu, lequel est l'avenir de la France et de l'Europe. Que ceux qui raisonnent ainsi ne prétendent pas que les Françaises et les Français se détourneraient de la question européenne : ce sont bien les partis politiques qui s'en écartent.
Revenons-en donc à la substance du texte, et faisons en sorte que les futurs eurodéputés s'investissent le plus possible au cours des cinq années à venir pour que la France retrouve toute son influence au Parlement européen : il y va, je le répète, de l'avenir du pays comme de celui de l'Europe.