Nous avons, dans notre mallette, des propositions qui les inciteront de manière beaucoup plus efficace à travailler en province. Il s'agit notamment d'organiser des roulements pour leur éviter des horaires de travail incompatibles avec la vie qu'ils entendent mener.
Évitons de créer de nouvelles niches fiscales. Ou alors des ophtalmologistes nous demanderont ensuite des exonérations pour s'installer en ville, parce que cela coûte cher et que le matériel est lui aussi onéreux.