Le sport a des vertus, à condition qu'elles soient enseignées. Il a besoin d'un service public fort pour faire valoir sa bonne nature, car il peut en avoir une mauvaise.
Ce texte comporte certes des aspects positifs. Mais, au nom du monde du sport, au nom de tous ceux qui ont bénéficié ou bénéficieront du meilleur de notre service public du sport, au nom de l'intérêt général, je fais de l'article 28 un casus belli : retirez-le de ce projet de loi pour que vive le service public du sport !