M. Vigier a rappelé le sens de ces amendements. Il ne faut pas avoir honte de parler de droit à la déconnexion. Ce droit existe déjà pour le secteur privé.
Les amendements qui ont reçu les avis défavorables de Mme la rapporteure et de M. le secrétaire d'État n'empêchent nullement d'adapter le droit à la déconnexion aux exigences de continuité du service public ou des activités régaliennes.
Il serait regrettable de manquer l'occasion d'étendre au service public ce droit qui est déjà en vigueur pour le secteur privé.