La coordination avec la Belgique et le Luxembourg est effective : nous sommes passés d'une à deux réunions par semaine. Nous travaillons également, bien sûr, avec la Commission européenne, qui nous soutient totalement.
Le pire n'est jamais certain et, je le répète, pour le moment, la France est indemne. En Belgique, 800 sangliers abattus ont été testés positifs. Mais les observateurs européens, français, belges et luxembourgeois, estiment aujourd'hui que la maladie est contenue et qu'elle ne devrait pas arriver en France.
Parallèlement, nous menons un travail diplomatique avec les pays vers lesquels nous exportons, notamment la Chine et les Philippines, afin d'obtenir ce que l'on appelle la régionalisation ; si nous trouvions un cas sur le sol français, nous pourrions tout de même continuer d'exporter. Nous avons bon espoir d'aboutir.
Madame la députée, pour l'instant, la situation est sous contrôle.