Par ailleurs, je rappelle que 60 % de la dette obligataire française est détenue par des fonds étrangers. Vous préférez le financement étranger au financement français, nous préférons le financement français au financement étranger : telle est la différence entre vous et nous.
Enfin, nous avons libéré l'épargne pour les entreprises. Cela rejoint la question très légitime posée par M. Mélenchon : qu'est-ce qui garantit que cette épargne ira vers les entreprises, vers l'investissement en actions ? Une chose toute simple : le bon sens des Français, …