Il s'agit, en fait, d'un amendement d'appel. Je rêverais que les salaires soient disponibles en « open source », sans mention des noms, pour que nous disposions enfin de bases de données à partir desquelles nous puissions travailler, sans devoir nous satisfaire des moyennes et autres données dont nous nous contentons habituellement.
La travail de la direction générale de l'administration et de la fonction publique, la DGAFP, me laisse sur ma faim s'agissant des rémunérations et de la vision globale qu'on peut avoir de la masse salariale de l'État, alors même que celle-ci représente un peu plus de 30 % du budget de la nation.
L'amendement vise donc surtout à appeler à la mise à disposition de chiffres plus précis qui permettraient de mieux gérer la masse salariale de l'État.