Les trains de nuit sont un moyen de mobilité à bas carbone, et c'est bien ce que nous cherchons. Il ne s'agit pas de construire des lignes à grande vitesse partout. Pour ces déplacements que l'on fait souvent pour des raisons professionnelles, le moment de la nuit est approprié puisque, généralement, on dort. En outre, ce bon mode de transport permettrait d'utiliser des infrastructures sous-utilisées la nuit. D'autres pays – le rapporteur général l'a dit – le font bien mieux que nous.
Nous voulons donc engager notre pays à une réflexion globale sur ces trains de nuit qui n'existent plus. Cela impliquera évidemment de veiller à ce que ces trains ne pèchent plus par une insuffisante qualité. Notre collègue Fabien Roussel avait été rapporteur d'une mission « flash » qui traitait, entre autres, de ce sujet.