Je ferai deux observations. La première, c'est qu'il est question de « millions d'euros courants » : qui peut dire quelle sera l'inflation demain compte tenu de la forte hausse du prix du baril de pétrole ? Tout peut arriver, le prix du baril étant l'un des paramètres essentiels dans le secteur des bâtiments et des travaux publics. D'autre part, madame la rapporteure, je vous trouve très conservatrice. Implicitement, vous maintenez l'AFITF par vos amendements. Vous êtes-vous demandé s'il ne fallait pas la supprimer et en rebudgétiser les dépenses, comme je le crois à titre personnel ? N'est-il pas dément que l'État accorde à l'AFITF des dotations qui finissent par lui être retournées ?