Je ne voudrais pas être désagréable à l'égard de la politique conduite depuis deux ans mais force est de constater qu'elle remet en cause un certain nombre de consentements : le consentement à l'impôt, comme en atteste le ras-le-bol fiscal, mais aussi le consentement à la sécurité routière, qui fait pourtant consensus en France depuis plusieurs décennies.
Par cet amendement, je souhaite que les pertes de financement qu'a subies l'AFITF en raison de la dégradation de radars, que nous condamnons tous, soient chiffrées et que nous disposions de cette information avant l'examen du projet de loi de finances pour 2020.