L'amendement repose sur la même approche que le précédent. Le Président de la République a explicitement souhaité que les étudiants parlent deux langues européennes d'ici à 2024 ; il y a lieu de décliner cette annonce ambitieuse à l'échelle de la fonction publique, d'autant plus que les agents publics sont en relation avec des personnes qui ne sont pas parfaitement francophones. En effet, la libre circulation des citoyens de l'Union européenne à l'intérieur de l'Union incite de nombreux Européens à s'installer en France ; ceux-ci côtoient les agents publics sans parler parfaitement le français.
L'amendement propose de renforcer la formation des agents à la maîtrise d'une langue étrangère.