L'exposé sommaire de l'amendement, vous l'avez bien entendu, madame la rapporteure, monsieur le secrétaire d'État, était une question : sur qui vont peser les 103 millions d'euros manquants ? On est ici pour débattre d'un projet de loi et quand l'on pose une question qui porte sur le texte, je pense que la moindre des politesses serait que vous y répondiez. Ces 103 millions seront-ils financés par les caisses de l'État ? Où allez-vous les trouver ? Le Gouvernement fera-t-il appel à de l'argent magique ? Mais M. Macron a dit : « Y a pas d'argent magique ! » Je vous ai posé une question : j'aimerais, pour l'intérêt du débat, avoir une réponse.