Je regrette que le Gouvernement ne réforme pas en profondeur les règles de la disponibilité.
Qui lâchera son statut quand il lui est loisible d'exercer ses talents hors de l'administration pendant une durée qui pourra atteindre dix ans, soit 25 % de sa carrière, tout en conservant ses droits, notamment celui d'être réintégré d'office ?
L'amendement prévoit donc de limiter la durée de la disponibilité à cinq ans.