Un certain nombre de députés, dont je suis, ont écrit au Premier ministre pour l'alerter : ne violentons pas le monde sportif au moment où nous voulons le réformer, à un an des Jeux olympiques de Tokyo, à cinq ans des Jeux olympiques de Paris ! Ne le violentons pas, mais continuons à discuter avec lui.
Je ne voterai donc pas l'article 28 en l'état. Par souci d'apaisement et pour que le dialogue entre l'État, la ministre des sports et les CTS puisse aboutir, je demande au Gouvernement de revenir sur l'alinéa 11 de cet article.
Le statut des CTS doit être modernisé, non pas contre eux mais avec eux.