De la même manière, il peut choisir de partir, auquel cas il bénéficiera d'une indemnité de départ volontaire. Ce n'est pas rien.
Cette possibilité lui est d'ailleurs offerte à tout moment. C'est ce qu'on appelle le « sac à dos social ». C'est important, cela compte : non, le Gouvernement ne prévoit pas de laisser 1 500 personnes du jour au lendemain sur le carreau.
Je m'étonne d'ailleurs que les députés à droite de cet hémicycle n'évoquent pas davantage les collectivités locales : elles attendent, elles, cette possibilité, dans le cas d'une délégation de service public, de détacher d'office des personnels tout en pouvant garantir leur avenir avec une possibilité de retour.