Avec le président Chassaigne, nous avons connu l'examen de textes de loi tels que la privatisation partielle, ou l'ouverture du capital, de La Poste. Les uns après les autres, nous citions tous les bureaux de poste de nos circonscriptions. C'était pitoyable. Le spectacle qui était donné était pitoyable, et nous avons fait la même chose, d'ailleurs, sur d'autres textes, moi le premier.
Aujourd'hui, nous avons banni de notre Assemblée ce type de pratiques, en limitant l'expression des parlementaires sur les articles et dans la discussion générale. Je crains que ce que vous proposez aujourd'hui conduise à subdiviser encore les groupes politiques et à multiplier les amendements, ce qui favorisera le retour à des comportements qui ne sont pas, à mon avis, ceux qu'attendent de nous nos concitoyens.