Cet amendement vise à préciser que la mise en oeuvre progressive du droit à la mobilité s'applique aussi aux personnes à mobilité réduite, mais aussi à toutes celles ayant des difficultés financières, physiques, matérielles ou cognitives. En France, sept millions d'actifs rencontrent des difficultés quotidiennes de mobilité, parfois nombreuses et invisibles : peur de prendre les transports, non-possession d'une carte bancaire pour payer son abonnement, handicap physique ne permettant pas de prendre une ligne régulière de bus…