Cet amendement, cosigné par plusieurs collègues de la commission, vise à enrichir la définition du droit à la mobilité, afin d'y ajouter le droit d'être accompagné dans l'utilisation des moyens de transport disponibles. C'est très important.
Nous avons déjà eu cette discussion sur beaucoup d'autres lois et de telles dispositions ont systématiquement été intégrées depuis le début du quinquennat. En effet, pour une partie de la population – les publics fragiles –, la mise à disposition de solutions ne suffit pas. Il faut prévoir un accompagnement afin qu'elles s'approprient les solutions et l'information, prennent en main les droits et la tarification sociale, et soient aptes à l'utilisation des solutions disponibles.