Je crains que cette rédaction très large permette à certains partenaires de ne pas venir autour de la table. Nous rencontrons actuellement cette difficulté à Paris – il fallait que je cite le cas. Il faut obliger tous les partenaires à se mettre autour de la table. Avec la formulation retenue, si l'un des partenaires n'a pas envie de venir, il ne viendra pas. Or les gestionnaires de voirie doivent absolument être là.