Je partage tout à fait l'objectif de faciliter la mobilité des personnes à mobilité réduite. D'autres dispositions dans le projet de loi, notamment celles qui concernent l'accompagnement individualisé, vont dans ce sens. Nous devons également être attentifs à ne pas faire peser trop de charges sur les autorités organisatrices, a fortiori à un moment où nous souhaitons que de petites intercommunalités se saisissent de la compétence en matière de mobilité. Je souhaite que ces plateformes se développent, mais la meilleure façon n'est sans doute pas de définir une obligation par la loi.