Il était important que nous ayons cette discussion en commission sur ce sujet extrêmement sensible. Nous sommes tenus par un devoir de transparence – et nous nous y tenons ce soir. Il découle de nos propos l'exigence qui s'impose à la puissance publique de se donner les moyens d'agir car, en réalité, même si nous adoptons en séance l'échelonnement du calendrier – 2021 pour le réseau principal et 2023 pour le réseau secondaire –, la puissance publique se sera engagée collectivement, au-delà des échéances qui pourraient survenir d'ici là, et nous devrons toutes et tous respecter cet engagement. Tel était l'esprit de l'amendement que nous avons déposé. Compte tenu des propos de la ministre et de la rapporteure, je retire le mien.