Je vous ai dit qu'en Vendée, nous bénéficions depuis quatre ans d'un entretien professionnel : il y a une psychologue à qui nous pouvons parler des problèmes que nous rencontrons ; c'est une sorte de supervision. Mais cela vaut pour peu de monde : six groupes de quelques dix personnes ont été constitués, soit soixante personnes pour 400 assistants familiaux dans le département. Ce n'est pas beaucoup, et je pense que la demande est plus forte que la proposition.