J'ai amené des jeunes à la majorité, voire au-delà. Ce sont eux qui ont choisi d'arrêter l'accompagnement de l'ASE parce qu'ils en avaient marre de rendre des comptes au service, de demander des autorisations. Ceux-là aussi sont allés très profond au fond du gouffre, alors que leurs études marchaient bien. Mais ils en avaient assez de ce système, de cet empilement de contraintes, du manque de liberté.