Avant d'occuper ses fonctions actuelles, le président Richard Ferrand était président de groupe. À maintes reprises, il avait affirmé la nécessité d'articuler les décisions entre les groupes politiques et le Bureau. En pratique, nous constatons qu'il faut synchroniser les délibérations car il y a une interaction forte entre les décisions du Bureau et la vie des groupes politiques. La solution retenue est intéressante : les présidents de groupe ne pourront pas voter pour ne pas dénaturer l'expression personnelle des membres mais ils pourront assister au Bureau intuitu personae. Les vice-présidents font partie de la Conférence des Présidents et c'est une bonne chose car il est important d'avoir compris la dynamique des groupes politiques avant les débats. Ce parallélisme, en quelque sorte, existe.