Je suis entièrement d'accord sur ce point, chose assez rare, avec Mme Ménard. Si nous ne partageons pas la même idéologie politique, je suis entièrement d'accord avec elle pour faire respecter les droits des députés non-inscrits. Car il y en a qui travaillent – parfois plus que certains députés inscrits dans un groupe !
Or, dans le cadre du temps législatif programmé, le temps de parole est décompté de telle sorte qu'un député ou une députée qui a travaillé un texte en profondeur peut se retrouver dans l'impossibilité de s'exprimer. Je ne trouve pas cela normal. Il faut donner un statut aux non-inscrits, même si celui-ci offre moins de droits et de possibilités qu'aux députés appartenant à un groupe.