Il n'empêche que, comme un grand nombre de mes collègues l'ont souligné hier soir, ces détachements d'office iront, dans certains cas, à l'encontre de la bonne mise en oeuvre des politiques publiques. Ils pourraient affecter d'autres domaines, comme la culture ou l'éducation. Cette éventualité nous inquiète, comme elle inquiète les syndicats.
De plus, ce n'est pas entendre le désarroi des fonctionnaires, face à l'évolution de leurs missions et de leurs métiers, que de leur apporter une telle réponse. Pour toutes ces raisons, nous demandons la suppression de l'article.