Une petite précision, monsieur le secrétaire d'État : je ne comprends pas comment le dispositif proposé par l'amendement no 235 pourrait s'appliquer. Si l'on raisonne sur le stock, cela signifie que, dans certains cas, il faudra obligatoirement nommer soit un homme, soit une femme. On n'aura pas le choix ! Dès lors, je ne vois pas comment on pourrait raisonner autrement que sur les seules primo-nominations.