En outre, les quelques contrats passés à l'étranger ne bénéficient que marginalement à l'emploi en France. Par ailleurs, la satisfaction de la demande étrangère nous empêche de couvrir entièrement les besoins de notre marine nationale. Dans le cas de notre contrat belge, il y a fort à parier que le calendrier des livraisons empiètera sur celui des livraisons attendues par nos propres armées.