Réjouissantes perspectives pour ma suppléante ! (Rires renouvelés.)
Plus sérieusement, comme la commission des Finances l'avait bien souligné il y a deux ans, nous avons dû recourir à des affrètements d'Antonov auprès de sociétés russes et ukrainiennes pour pallier les retards de livraisons d'A400M. Si les contrats russes sont rompus, qu'en est-il des contrats ukrainiens ? La loi de programmation militaire a consolidé le format de notre flotte d'A400M et, vous l'avez dit, le quinzième exemplaire de cet appareil vient de nous être livré. Cette flotte suffit-elle aujourd'hui à nous passer d'affrètements d'appareils ukrainiens ?