J'ajoute une question proche. Nous avons bien entendu que chacun doit prendre part au changement d'approche global qui est nécessaire. Nous avons vu ici des acteurs de terrains conscients et engagés, et des élus qui jouent le jeu. Mais ce n'est pas le cas partout. Ne touche-t-on pas aux limites de nos politiques publiques, qui se heurtent à ce que la biodiversité, au fond, reste optionnelle et liée au bon vouloir des uns et des autres ?