Dans notre cas, les partenariats ne vont pas de soi : il s'agit en partie de travailler avec des concurrents. Il appartient donc à la sphère publique de jouer son rôle fédérateur et de les encourager. Elle a, de plus, des moyens d'accompagnement par de l'ingénierie sociale et financière.
Sur la participation du public à notre capital, dès le lancement de notre projet, nous avons tout de suite senti un engouement. 280 actionnaires ont investi, certes des sommes modestes, mais cet actionnariat populaire est une façon d'associer des habitants du quartier et d'avoir un effet d'entraînement pour nos projets. Quant à les enrichir par un accompagnement éducatif, c'est une charge supplémentaire, mais que nous devons consentir comme investissement.