Monsieur le ministre, je voudrais d'abord vous remercier de votre engagement fort, franc et vraiment bienvenu en faveur des langues anciennes, des langues qui s'enseignent de façon effectivement très moderne, dont je connais à titre personnel l'importance pour faire réussir des enfants parfois issus de milieux défavorisés.
Je vais m'arrêter sur une situation qui perturbe certains parents à la rentrée scolaire. On sait que des problèmes de recrutement des professeurs, des problèmes de gestion des ressources humaines se posent ; certaines classes n'avaient pas d'enseignant à la rentrée. Ce phénomène se résorbe-t-il peu à peu ? Où en est-on ?