Comme l'a annoncé le Président de la République dans son intervention à Ouagadougou en 2018, les objectifs pour l'aide publique au développement française ont été relevés à 0,55 % du PIB, en la conditionnant, comme cela a été évoqué, ce dont nous ne pouvons que nous satisfaire.
Un budget supplémentaire suppose une action supplémentaire. Vous venez d'exposer les différents programmes et enjeux de l'AFD. Je souhaiterais que vous nous éclairiez sur les programmes menés au Moyen-Orient, dans un contexte toujours très instable, entre l'apparente éviction de Daech de la zone syro-irakienne et le conflit entre Saoudiens et Iraniens, qui transparaît largement tant en Syrie qu'au Yémen. Cette zone est-elle concernée par des projets de développement soutenus, afin notamment d'offrir des conditions de vie dignes à ses habitants ?