Je voulais revenir sur la question de la conditionnalité, car vous liez très profondément l'ensemble de votre action à un certain nombre d'objectifs d'intérêt général clairement définis, en termes de climat, de lien social ou de paix, notamment, à fort caractère valorisant.
Comment appréciez-vous concrètement le degré de recevabilité de l'aide par les États concernés, en fonction de leur ouverture politique, du pluralisme, du degré de corruption ou, au contraire, de rigueur dans la gestion financière ? Comment gérez-vous ces problèmes de corruption et de non-conformité à nos valeurs politiques ?