L'amendement CD2123, dont je suis la première signataire, découle de la même idée, à ceci près que je propose de fixer un délai de deux ans au lieu de dix pour la mise en oeuvre de cette interdiction. Nous parlons en effet d'aménagements à réaliser qui ne sont pas forcément coûteux : ils peuvent se faire par des marquages au sol ou par l'apposition de panneaux. Le délai de dix ans paraît donc assez disproportionné au regard des travaux à réaliser, d'autant plus qu'il s'agit là de travaux essentiels à la sécurité des piétons.